Les CFQ demandent au gouvernement d’aider les personnes à faible revenu
Les Cercles de Fermières du Québec se joignent au Collectif pour un Québec sans pauvreté dans ses démarches auprès du gouvernement du Québec afin que celui-ci augmente rapidement le crédit d’impôt pour solidarité afin d’aider les personnes à faible revenu.
« La mission des Cercles de Fermières du Québec est de contribuer à l’amélioration des conditions de vie de la femme et de la famille, ainsi qu’à la préservation et la transmission du patrimoine culturel et artisanal. Il va de soi que notre organisation se préoccupe des répercussions de la pandémie de COVID-19 sur les personnes les plus vulnérables de notre société. » souligne Caroline Pelletier, directrice générale des Cercles de Fermières du Québec.
Les prochaines semaines risquent d’être particulièrement éprouvantes pour les personnes en situation de faible revenu qui n’ont accès ni au Programme d’aide temporaire aux travailleurs, ni à la Prestation canadienne d’urgence, ni à l’assurance-emploi, ni à aucun gain de travail.
Les mesures annoncées par le gouvernement fédéral pour venir en aide aux personnes et aux familles à faible revenu (bonification de la TPS et de l’Allocation canadienne pour enfants) ne seront disponibles qu’au mois de mai. Que faire entre-temps pour ceux et celles qui ont besoin d’une aide financière immédiate? Il est à craindre que plusieurs n’aient d’autre choix que de se priver dans l’intervalle de médicaments, de nourriture et d’autres besoins pourtant essentiels.
Une solution envisageable pour remédier à la situation serait de se servir du crédit d’impôt pour solidarité pour augmenter rapidement le revenu des ménages québécois à faible revenu. Le recours à ce crédit d’impôt, dont bénéficient déjà 2,9 millions de ménages, aurait comme avantage de cibler précisément les personnes ayant les besoins de liquidités les plus criants.
Il est urgent d’agir.La mission des Cercles de Fermières du Québec est de contribuer à l’amélioration des conditions de vie de la femme et de la famille, ainsi qu’à la préservation et la transmission du patrimoine culturel et artisanal. Il va de soi que notre organisation se préoccupe des répercussions de la pandémie de COVID-19 sur les personnes les plus vulnérables de notre société.
Caroline Pelletier, directrice générale